1. Dans la foulée des révolutions qui surgissent de toutes parts en Europe, la capitale de l’Autriche est elle-même touchée le 13 mars. Ça commence bien mais ça finit mal. Qui fout le camp du pouvoir ?
a Ott
b Klenau
c Metternich
d Schwarzenberg
2. Les cinquante morts de mars ne résolvent pourtant pas les choses. Ça a grogne encore un peu en avril et en mai. Devant l’incertitude du lendemain, la cour impériale s’en va s’installer :
a A Lindau
b A Maribor
c A Austerlitz
d A Innsbruck
3. Et qui est l’empereur d’Autriche à cette époque ?
a Auguste Ier
b Ferdinand Ier
c Guillaume II
d Maximilien II
4. Il est revenu à Vienne en août, il décampe de nouveau au début octobre. Là, c’est grave. Carnage. Qu’est-ce qui a mis le feu aux poudres ? La décision d’envoyer les troupes contre :
a La Saxe
b La Hesse
c La Prusse
d La Hongrie
5. Le 6 octobre, quel ministre de la guerre est massacré puis suspendu à un réverbère ?
a Latour
b Prengarde
c Maraisbourvil
d Enfin, personne !
6. Les notables, les bourgeois et les conservateurs quittent Vienne en nombre pour aller à la campagne ou suivre l’empereur à Olmütz. C’est un peu la situation qui prévaudra à Paris en :
7. Que se passe-t-il ensuite ? L’armée assiège Vienne et la bombarde durement. Les Autrichiens du prince Windischgrätz et les troupes du général-baron Jelacic, qui sont :
a Des Coptes
b Des Crétois
c Des Cariens
d Des Croates
8. Les forces impériales viennent à bout des insurgés à la fin d’octobre, en en faisant de la bouillie ! Le bilan de cette tuerie se monte à environ :
a 500 morts
b 2.000 morts
c 8.000 morts
d 15.000 morts
9. Pour ceux des chefs de la révolte qui sont pris vifs, quel est leur sort ?
a Exécutés !
b Exilés en Roumanie !
c Libérés après un rappel à la loi !
d Internés à vie avec obligation de repentance !
10. Prochain grand bain de sang à Vienne, en 1881. Environ 400 morts. Et quoi donc ?
a Un théâtre qui brûle
b Une vente de diamants
c Un massacre dans une école
d Une cohue pour la soupe gratuite